Harcèlement scolaire en 2025 : où en est-on vraiment ?

Chaque matin, des milliers d’élèves franchissent les portes du collège ou du lycée avec une boule au ventre. 😞 Pas à cause d’un contrôle ou d’un exposé… mais parce qu’ils redoutent ce qui se passera dans la cour, sur leur téléphone, ou dans les couloirs. Petites piques, moqueries, surnoms blessants, messages humiliants : le harcèlement scolaire se glisse partout, souvent à bas bruit.

En 2025, la parole se libère un peu plus, les campagnes se multiplient, les écoles s’organisent. Mais dans les faits, le mal-être reste bien réel

Alors, que disent les chiffres aujourd’hui ? Qu’a-t-on réellement mis en place ? Et surtout, comment aider son ado à s’en sortir sans se sentir démuni·e‎ ?

Cet article vous propose de faire le point sur la situation du harcèlement scolaire aujourd’hui, de mieux comprendre ce que vivent les jeunes, et de trouver des pistes concrètes pour les aider à traverser cette épreuve sans se sentir seuls. 🫶

 

Harcèlement scolaire : ce que disent les chiffres en 2025

Le harcèlement scolaire reste un sujet préoccupant pour les familles comme pour les établissements. Et malgré les campagnes de sensibilisation menées depuis plusieurs années, les chiffres 2025 montrent que le phénomène persiste, sous des formes parfois plus subtiles.

Selon le ministère de l’Éducation nationale, près de 1 élève sur 10 dit avoir été victime de moqueries, d’insultes, de mises à l’écart ou d’humiliations répétées.
Plus précisément, environ 5‎ % des collégiens seraient concernés par une situation de harcèlement avérée, c’est-à-dire des agressions répétées, intentionnelles et inscrites dans une relation de domination.

👉 Les élèves de primaire apparaissent comme les plus touchés : c’est une période où le besoin d’intégration au groupe est fort, et où l’identité sociale se construit.
👉 Les filles sont davantage concernées par les violences psychologiques et relationnelles (rumeurs, moqueries sur l’apparence, exclusion), tandis que les garçons subissent plus souvent des violences physiques ou des insultes directes.
👉 Le cyberharcèlement continue de gagner du terrain : près de 20 % des adolescents disent avoir déjà été la cible d’attaques ou de moqueries en ligne.

Derrière ces données, il y a des réalités très différentes‎ :

  • Pour certain·es, ce sont des messages moqueurs sur un groupe de classe.
  • Pour d’autres, des insultes répétées dans les couloirs ou un isolement.
  • Et parfois, un engrenage numérique, où les brimades continuent en dehors de l’école, sur les réseaux sociaux.

Les conséquences psychologiques sont lourdes‎ :
😞 perte de confiance en soi, anxiété, troubles du sommeil‎ ;
📉 décrochage scolaire, isolement social‎ ;
💬 et dans les cas les plus sévères, des pensées suicidaires.

Une étude de 2024 montre qu’au primaire, 50 % des élèves alertent un adulte dès les premières atteintes, contre seulement 20 % des collégiens après une ou deux situations répétées. Cela montre à quel point la parole reste fragile, et combien le rôle des adultes, à la maison comme à l’école, est déterminant pour l’encourager.

Mais il y a aussi une note d’espoir : les adolescents parlent plus qu’avant. Grâce aux réseaux, aux campagnes de prévention et à l’attention accrue du public, le tabou s’effrite peu à peu. Les jeunes osent davantage dire « stop », signaler ou chercher de l’aide. 💫

 

Ce qui a changé : des écoles mieux armées et des lois renforcées

Bonne nouvelle : depuis quelques années, la lutte contre le harcèlement scolaire n’est plus une simple « ‎ campagne de sensibilisation », mais une priorité nationale. L’école n’est plus seulement un lieu d’apprentissage, elle devient aussi un espace de prévention et de protection.

Des établissements mieux formés et mieux outillés

Depuis 2023, le programme pHARe (Prévenir le Harcèlement et Agir avec Respect) est généralisé à l’ensemble des écoles, collèges et lycées. Son principe est simple : former, repérer, intervenir.

🧠 Former

Chaque établissement dispose désormais d’équipes ressources composées d’enseignants, de personnels de vie scolaire et parfois d’élèves formés spécifiquement à la prévention du harcèlement. Ces équipes apprennent à identifier les signes précoces, à écouter sans minimiser, et à agir rapidement avant que la situation ne s’envenime.

👀 Repérer

Des outils concrets ont été mis en place : grilles d’autoévaluation, questionnaires anonymes, dispositifs d’écoute confidentielle… L’objectif est de détecter plus tôt les situations à risque, même celles qui ne sont pas encore déclarées.

🤝 Intervenir

En cas de suspicion, un protocole national clair guide les établissements : écoute de la victime, accompagnement de la famille, suivi des auteurs et mesures éducatives adaptées. L’idée n’est plus seulement de sanctionner, mais de réparer les liens et restaurer un climat apaisé.

De plus en plus d’écoles choisissent d’aller plus loin‎ :

  • certaines organisent des ateliers de parole, des projets théâtre ou des débats en classe pour apprendre aux élèves à reconnaître et nommer les comportements violents.
  • d’autres créent des espaces de médiation ou des clubs « ‎ ambassadeurs du respect‎ », où les jeunes eux-mêmes deviennent acteurs de la prévention.

Un cadre légal plus protecteur

Les lois se sont également adaptées à la réalité du terrain. Depuis 2022, le harcèlement scolaire est reconnu comme un délit par le Code pénal. Cela signifie que les auteurs peuvent être poursuivis en justice, y compris lorsqu’ils sont mineurs, et que les familles disposent de droits plus clairs pour signaler et demander réparation.

En 2024, le gouvernement a renforcé plusieurs points clés‎ :

  • Les plateformes numériques (TikTok, Snapchat, Instagram…) doivent désormais coopérer plus vite en cas de signalement.
  • Les chefs d’établissement disposent de nouveaux leviers d’action pour écarter temporairement un élève auteur de faits graves, afin de protéger la victime pendant l’enquête.
  • Une circulaire nationale, publiée début 2024, impose un suivi systématique des victimes, même après la résolution du conflit, pour éviter les rechutes.

Autre évolution importante‎ : la coordination entre l’Éducation nationale et la Justice. Les rectorats disposent désormais de référents « ‎ harcèlement‎ » chargés de faire le lien entre les établissements, la police et les associations d’aide aux victimes.

Une sensibilisation qui s’installe dans la durée

Depuis deux ans, les campagnes autour de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire (chaque 6 novembre) prennent une ampleur inédite. Des spots à la télévision, des témoignages sur les réseaux sociaux, des interventions de jeunes «ambassadeurs » dans les classes… L’objectif n’est plus seulement d’émouvoir, mais de changer durablement les comportements.

Et les résultats commencent à se faire sentir‎ :

  • les élèves osent davantage signaler‎ ;
  • les enseignants se sentent moins seuls‎ ;
  • et les parents sont plus informés sur les démarches à suivre.

Le numéro 3018, piloté par l’association e-Enfance, joue un rôle central‎ : accessible 7j/7, il offre un soutien psychologique, juridique et numérique, aussi bien pour les jeunes que pour leurs familles. C’est devenu le réflexe national en cas de doute, de harcèlement ou de cyberharcèlement. 📱

Ces évolutions montrent que la société avance dans la bonne direction, pas à pas.
L’enjeu maintenant, c’est de rendre ces dispositifs accessibles à tous‎ : dans chaque école, chaque foyer, chaque écran. Parce qu’un ado bien entouré, c’est un ado qui parle, qui se relève… et qui reprend confiance. 💫

 

Ce qui reste à améliorer quant au harcèlement

Les progrès sont réels, mais la route est encore longue. En 2025, la France dispose enfin d’un cadre solide pour lutter contre le harcèlement scolaire. Pourtant, certaines zones d’ombre persistent, aussi bien dans la prévention que dans l’accompagnement des familles.

Des inégalités d’application entre établissements

Sur le papier, le programme pHARe est déployé partout. Dans la réalité, tous les établissements n’avancent pas au même rythme. Certaines écoles ont des équipes formées, des ambassadeurs élèves, des réunions régulières de prévention… tandis que d’autres peinent encore à mettre le dispositif en œuvre faute de temps, de moyens ou de soutien local.

Les personnels de vie scolaire le disent : la volonté existe, mais le manque de formation continue et la surcharge des équipes rendent difficile le suivi au quotidien. Résultat : dans certaines situations, les signaux d’alerte passent inaperçus, ou sont minimisés par manque de ressources.

Comme le confie une infirmière scolaire : « ‎ on a les outils, mais pas toujours le temps de les utiliser comme il faudrait.‎ »

Le cyberharcèlement : une frontière encore floue

C’est l’un des grands défis actuels. Le harcèlement ne s’arrête plus aux grilles du collège : il se poursuit sur les réseaux, les messageries, les jeux en ligne. Or, ces espaces échappent largement au contrôle de l’école.

Même si les chefs d’établissement peuvent désormais agir en cas de cyberviolence entre élèves, les démarches restent complexes. Les preuves sont numériques, parfois effacées, et les plateformes étrangères ne coopèrent pas toujours assez vite.

Pour les ados, cette continuité est dévastatrice‎ : le sentiment d’être traqué·e « ‎ même à la maison‎ » renforce la peur et l’isolement. Et beaucoup de parents se sentent démunis face à ces formes nouvelles :

  • « ‎ Je ne comprends pas comment c’est arrivé‎ »,
  • « ‎ Il ou elle ne veut plus toucher à son téléphone‎ »,
  • « ‎ Je ne sais pas comment l’aider.‎ »

C’est pourquoi la prévention numérique reste un chantier majeur‎ : former les jeunes à l’usage des réseaux, apprendre à repérer les contenus dangereux et à oser demander de l’aide dès les premiers signes.

Un suivi psychologique encore trop fragile

Si les dispositifs d’urgence se multiplient, l’accompagnement dans la durée reste inégal. Beaucoup d’élèves victimes de harcèlement ne bénéficient d’aucun suivi après les faits. Une fois la crise passée, la souffrance, elle, continue.

Or, pour qu’un adolescent retrouve confiance, il faut du temps, de la parole et un cadre sécurisant. Les psychologues scolaires font un travail essentiel, mais leur nombre reste très limité. Et les familles qui cherchent un suivi extérieur se heurtent souvent à des délais d’attente longs ou des coûts élevés.

Ce manque de continuité fragilise la reconstruction‎ : un élève peut sembler aller mieux, mais replonger dès qu’un souvenir ou une remarque ravive la blessure. 🧡

La parole des témoins : encore trop silencieuse

Autre enjeu majeur : le rôle des témoins. Dans la majorité des cas, le harcèlement se déroule devant d’autres élèves. Pourtant, très peu osent intervenir ou signaler.

Les raisons sont multiples :

  • peur des représailles‎ ;
  • sentiment que « ‎ ça ne les regarde pas‎ » ;
  • ou simple banalisation : « ‎ C’est pour rigoler.‎ »

Former les élèves à devenir des témoins actifs, capables de soutenir leurs camarades et d’alerter un adulte, est une étape importante pour changer les mentalités. C’est d’ailleurs l’un des piliers du programme pHARe, mais il faut encore du temps pour que cette culture du respect s’installe durablement.

Des parents qui demandent à être mieux accompagnés

Enfin, beaucoup de parents expriment un besoin de repères clairs. Que faire quand on soupçonne un harcèlement‎ ? À qui s’adresser‎ ? Comment ne pas dramatiser, sans non plus minimiser‎ ?

Les familles ont besoin d’être informées, mais aussi soutenues émotionnellement. Parce qu’un parent inquiet, c’est souvent un parent qui se sent impuissant. Des espaces de parole, des cafés-parents ou des ateliers animés par des professionnels pourraient aider à mieux comprendre les émotions de leur ado, et à savoir comment réagir sans peur ni culpabilité.

 

Parents : comment réagir au harcèlement de son enfant sans paniquer ?

Apprendre que son enfant est victime de harcèlement, c’est souvent un choc. Certains parents se sentent envahis par la colère, d’autres par la peur ou la culpabilité. Et c’est normal. Personne n’est préparé à voir son ado souffrir à l’école.

Mais votre réaction, dans ces moments-là, compte énormément. Votre calme, votre écoute et votre confiance peuvent faire toute la différence. 🌱

Repérer les signaux d’alerte

Le harcèlement ne se manifeste pas toujours de façon évidente. Votre ado ne vous dira peut-être jamais directement‎ : « ‎ On me harcèle.‎ » Mais son comportement, lui, envoie souvent des messages.

Voici quelques signes à observer :

  • Il ou elle refuse d’aller à l’école ou s’y rend en traînant les pieds‎ ;
  • Les résultats scolaires chutent‎ ;
  • Le sommeil est perturbé, l’appétit change‎ ;
  • L’ado s’isole, parle moins, passe beaucoup de temps seul·e dans sa chambre‎ ;
  • Il ou elle cache son téléphone, semble stressé·e après avoir lu un message‎ ;
  • Son humeur varie sans raison apparente : irritabilité, pleurs, perte d’intérêt.

Ces signes ne prouvent pas toujours une situation de harcèlement, mais ils méritent qu’on s’y attarde avec bienveillance. Mieux vaut se tromper en posant la question que passer à côté d’une souffrance. 💬

Ouvrir la conversation sans brusquer

Quand on sent que quelque chose ne va pas, le plus dur, c’est de savoir comment en parler. L’adolescent peut craindre de décevoir, d’inquiéter, ou même de déclencher un trop-plein émotionnel chez son parent.

💬 Voici quelques phrases d’ouverture possibles, simples et rassurantes‎ :

  • « ‎ J’ai remarqué que tu sembles un peu stressé·e en ce moment. Tu veux m’en parler‎ ? ‎ »
  • « ‎ Il y a des choses à l’école qui te dérangent ? ‎ »
  • « ‎ Si quelqu’un te fait du mal, tu sais que tu peux m’en parler, d’accord ? ‎ »

L’idée est de montrer que vous êtes disponible, sans forcer la parole. Même s’il ou elle ne répond pas tout de suite, votre attitude bienveillante plante une graine : votre ado saura qu’il peut venir vers vous plus tard.

🚫 Ce qu’il faut éviter‎ :

  • minimiser (« ‎ Ce sont juste des blagues‎ »)‎ ;
  • culpabiliser (« ‎ Tu devrais répondre, te défendre‎ »)‎ ;
  • comparer (« À ton âge, je n’aurais jamais laissé faire »).

Chaque adolescent réagit différemment : certains se renferment, d’autres explosent. Votre rôle, c’est d’offrir un cadre sûr, sans jugement, où la peur peut s’exprimer sans honte. 🧡

Passer à l’action ensemble

Si votre ado se confie, félicitez-le d’avoir parlé. C’est une étape courageuse. Ensuite, avancez ensemble, à son rythme.

  • 1. Rassembler les éléments‎ : captures d’écran, messages, témoignages éventuels. Cela permet d’objectiver la situation, surtout s’il y a cyberharcèlement.
  • 2. Prévenir l’établissement scolaire‎ : contactez le professeur principal, le CPE ou le chef d’établissement. Mentionnez le mot « ‎ harcèlement‎ » dès le départ pour déclencher le protocole prévu par le programme pHARe.
  • 3. Contacter le 3018 : ce numéro national gratuit et anonyme vous met en lien avec des professionnels spécialisés. Vous pouvez aussi passer par le chat en ligne ou l’application mobile si votre ado préfère écrire plutôt que de parler.
  • 4. Protéger le bien-être psychologique‎ : consultez un·e psychologue, un·e coach ou un·e professionnel·le formé·e à l’accompagnement des ados.

Bon à savoir : l’école a l’obligation légale d’agir dès qu’une situation de harcèlement est signalée. Vous n’êtes pas seul·e à devoir tout gérer.

Rester présent·e, même après

Le harcèlement ne s’efface pas en un jour. Même lorsque les faits cessent, les blessures émotionnelles mettent du temps à guérir.

Continuez à parler, à questionner doucement, à encourager les sorties, les activités qui redonnent confiance. Les ados ont souvent besoin de retrouver une image positive d’eux-mêmes. Valorisez chaque petit pas :

  • « ‎ Je t’ai trouvé·e plus détendu·e ce matin, ça me fait plaisir.‎ »
  • « ‎ Tu as réussi à en parler à ton prof, c’est vraiment courageux.‎ »

Et n’oubliez pas : votre sérénité est un repère. Plus vous êtes calme et à l’écoute, plus votre ado se sentira en sécurité. 🫶

Chercher du soutien pour soi aussi

Accompagner un enfant victime de harcèlement, c’est éprouvant. Il est normal d’avoir besoin, vous aussi, d’écoute et de repères.

N’hésitez pas à‎ :

  • échanger avec d’autres parents (associations, groupes de parole)‎ ;
  • en parler à un professionnel si vous vous sentez dépassé·e‎ ;
  • ou contacter des structures comme IAMSTRONG, où des coachs certifiés accompagnent les familles dans ces situations.

Nos spécialistes travaillent avec les adolescents en visio, à leur rythme, en toute confidentialité. L’objectif‎ : les aider à se reconstruire, à reprendre confiance et à se sentir à nouveau acteurs de leur bien-être. Le 1ᵉʳ rendez-vous est gratuit, pour faire le point et trouver ensemble les solutions les plus adaptées. 💻

Les ressources inspirantes

Par ailleurs, voici quelques ressources qui pourront aider votre ado, mais qui pourront vous aider vous aussi, en tant que parent. 📚

 

IAMSTRONG : un accompagnement sur mesure pour aider votre ado

Quand on est parent, il n’est jamais simple de voir son enfant perdre le sourire à cause de moqueries, d’exclusion ou de peur d’aller à l’école. Même avec tout l’amour et la bienveillance du monde, on ne trouve pas toujours les mots justes. Et parfois, malgré les discussions, le mal-être s’installe en silence.

C’est là que nos coachs et nos psychologues peuvent intervenir. Chez IAMSTRONG, nous avons conçu un accompagnement spécialement dédié aux jeunes de 11 à 25 ans, pour les aider à surmonter les situations de harcèlement ou de perte de confiance, à leur rythme, et sans jugement.

Nos professionnels s’appuient sur des approches validées, comme les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) et le coaching positif, pour aider les adolescents à‎ :

  • comprendre ce qu’ils ressentent‎ ;
  • exprimer leurs émotions sans peur‎ ;
  • renforcer leur estime d’eux-mêmes et leur sentiment de sécurité.

L’objectif n’est pas de « ‎ changer‎ » l’ado, mais de l’aider à se reconstruire étape par étape, en s’appuyant sur ses forces, ses réussites et ses ressources intérieures. Nos séances 100‎ % en visio offrent un cadre rassurant, loin du regard des autres, où les jeunes peuvent parler librement, se sentir compris·es et avancer à leur propre rythme.

👉 Si vous sentez que votre ado traverse une période difficile ou que la situation dépasse ce que vous pouvez gérer seul·e, vous pouvez prendre rendez-vous gratuitement pour un premier échange avec un coach ou un psychologue IAMSTRONG.

Parce qu’aucun parent ne devrait se sentir impuissant face à la souffrance de son enfant. Et parce qu’un adolescent bien accompagné peut transformer cette épreuve en un véritable tremplin vers la confiance et la résilience. Chaque jeune mérite de se sentir en sécurité, entendu et soutenu. Ensemble, aidons-les à retrouver la force de croire en eux, de renouer avec les autres et d’avancer vers un avenir plus apaisé. 💖

Vous aimerez aussi lire...

TEST GRATUIT

Les 4 Styles de Parentalité

Quel parent êtes-vous ?

10 questions / 5 minutes